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Nasser Al-Khelaïfi a levé le voile sur la méthode radicale de Luis Enrique lors d’un entretien accordé à Al-Kass TV Sports. Le président du PSG a révélé une consigne forte du technicien espagnol dès son arrivée : « La première chose qu’a dit Luis Enrique c’est ‘Je ne veux pas de stars.’ Il ne faut pas de différence. Il m’a dit ‘j’ai 23 joueurs, celui qui s’est entraîné à 100% la semaine, c’est lui qui commencera’ ».
Cette philosophie tranche avec l’ère des galactiques, où les individualités primaient. Luis Enrique a imposé un cadre strict, misant sur la jeunesse et la méritocratie. Fini les statuts intouchables : au PSG version 2024-2025, la performance à l’entraînement a déterminé la place dans le onze. Le coach espagnol a ainsi favorisé l’éclosion des Titis parisiens, leur offrant un temps de jeu inédit et les intégrant progressivement dans les matches à enjeu.
Le vestiaire a dû s’adapter à cette exigence nouvelle. Luis Enrique, réputé pour son management intransigeant mais paternaliste, a su instaurer une dynamique collective où chacun doit prouver sa valeur au quotidien. Cette approche a porté ses fruits : Paris a décroché sa première Ligue des Champions, couronnant le pari du collectif sur l’individualité.
Le mercato est à l’image de cette révolution : priorité aux jeunes talents, refus catégorique de recruter à prix d'or des profils expérimentés de 27 ou 28 ans. Nasser Al-Khelaïfi l’assure : « C’est le meilleur entraîneur pour développer les jeunes joueurs. Il aime l’esprit combatif, le joueur qui donne tout, court beaucoup sur le terrain, qui est généreux dans ses efforts ».
En misant sur l’égalité et la méritocratie, Luis Enrique a redéfini l’ADN du PSG, désormais tourné vers l’avenir et la cohésion.
Cette philosophie tranche avec l’ère des galactiques, où les individualités primaient. Luis Enrique a imposé un cadre strict, misant sur la jeunesse et la méritocratie. Fini les statuts intouchables : au PSG version 2024-2025, la performance à l’entraînement a déterminé la place dans le onze. Le coach espagnol a ainsi favorisé l’éclosion des Titis parisiens, leur offrant un temps de jeu inédit et les intégrant progressivement dans les matches à enjeu.
Le vestiaire a dû s’adapter à cette exigence nouvelle. Luis Enrique, réputé pour son management intransigeant mais paternaliste, a su instaurer une dynamique collective où chacun doit prouver sa valeur au quotidien. Cette approche a porté ses fruits : Paris a décroché sa première Ligue des Champions, couronnant le pari du collectif sur l’individualité.
Le mercato est à l’image de cette révolution : priorité aux jeunes talents, refus catégorique de recruter à prix d'or des profils expérimentés de 27 ou 28 ans. Nasser Al-Khelaïfi l’assure : « C’est le meilleur entraîneur pour développer les jeunes joueurs. Il aime l’esprit combatif, le joueur qui donne tout, court beaucoup sur le terrain, qui est généreux dans ses efforts ».
En misant sur l’égalité et la méritocratie, Luis Enrique a redéfini l’ADN du PSG, désormais tourné vers l’avenir et la cohésion.
